L’ENAC

L’ENAC
L’ENAC « oublie » le renouvellement de l’homologation de la formation TSEEAC niveau BAC+2 : Le SATAC a saisi le Directeur Général après avoir appris, quasiment par hasard, à l’occasion du GS TSEEAC que le délai qui avait été accordé à l’ENAC pour mener à bien ce renouvellement était écoulé… Il nous a donc été froidement annoncé en séance : « Le délai est passé, l’homologation est perdue » Rappelons ici que cette homologation, obtenue par le SATAC il y a plus de 10 ans, n’est pas étrangère à la reconnaissance du niveau du corps, donc à une grille indiciaire atypique, à l’obtention des emplois fonctionnels, des postes en recouvrement, etc. Alors qu’elle vient d’être remaniée pour être conforme au Comon Core Content en vue de délivrer des licences de contrôleur aérien communautaire aux TSEEAC-contrôleurs,et au lendemain d’un protocole où il est prévu de rechercher un parallèle avec les formations européennes de type « bachelor » (BAC+3), ceci est inadmissible ! Lire la lettre : La lettre n° 08.001 du secrétaire Général du SATAC
L’ENAC « oublie » le renouvellement de l’homologation de la formation TSEEAC niveau BAC+2 : Le SATAC a saisi le Directeur Général après avoir appris, quasiment par hasard, à l’occasion du GS TSEEAC que le délai qui avait été accordé à l’ENAC pour mener à bien ce renouvellement était écoulé… Il nous a donc été froidement annoncé en séance : « Le délai est passé, l’homologation est perdue » Rappelons ici que cette homologation, obtenue par le SATAC il y a plus de 10 ans, n’est pas étrangère à la reconnaissance du niveau du corps, donc à une grille indiciaire atypique, à l’obtention des emplois fonctionnels, des postes en recouvrement, etc. Alors qu’elle vient d’être remaniée pour être conforme au Comon Core Content en vue de délivrer des licences de contrôleur aérien communautaire aux TSEEAC-contrôleurs,et au lendemain d’un protocole où il est prévu de rechercher un parallèle avec les formations européennes de type « bachelor » (BAC+3), ceci est inadmissible ! Lire la lettre : La lettre n° 08.001 du secrétaire Général du SATAC